Les Africains de la diaspora et la Fête: un phénomène nuisible à l’image
C’est depuis longtemps que la rédaction de Africa & Science s’inquiète de la recrudescence des bals et autres activités dansantes au sens de la diaspora africaine en générale, et camerounaise en particulier. Sur les campus universitaires, quand une annonce est affichée au babillard par des étudiants africains, à la grande surprise des observateurs, il s’agit toujours d’une invitation à une soirée dansante. Pourtant, les organisateurs de ces soirées de « voyez-nous» sont pour la plupart des étudiants régulièrement inscrits dans les universités occidentales. Alors, comme comprendre la propension des universitaires africains à organiser plus les soirées dansantes que les rencontres scientifiques? Comment expliquer qu’ils soient si prompts à organiser un bal plutôt qu.à organiser une conférence débats sur ces problème d’intégration en Europe, par exemple?
Indigné par cette réalité, un universitaire africain lance son cri de cœur dans le vidéo suivante: https://www.facebook.com/assaa.sylvestre/videos/10154554157578954/
PhD Position: A History of Material Culture in former “French” Sub-Saharan Africa Chauds échanges sur le forum: Certaines danses africaines, tout comme certaines langues, disparaitront
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