La fuite des cerveaux: un véritable plaie au pied de l’Afrique
On les veut de toute urgence à Douala ou à Yaoundé au Cameroun, pour occuper des postes de cadre au sein des organisations, et ainsi soutenir les politiques économiques des pouvoirs publics. Mais ils sont plutôt à New York, Londres ou à Paris, employés parfois en deçà de leur compétences. La vidéo que nous publions ci-après présente le cas du Maroc, un État aujourd’hui en pleine expansion économique, mais qui manque de cadres qualifiés.
Peut-on actuellement déceler sur le continent africain quelques indices qui permettent d’envisager le futur avec optimisme? Le remède imaginaire: le Québec face au défi de l’immigration
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